Some more lore, with some parts rewritten
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8fdf6ee43b
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web/nyqy.org
182
web/nyqy.org
@ -234,21 +234,21 @@
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# - What term do the people use to distinguish themselves from other language
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# groups?
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# - What is the origin of these terms (if known)?
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Peu de choses sont connues sur le peuple, du fait de sa distance avec nous,
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et du fait du peu d’éléments dont nous disposons directement ou
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indirectement. Beaucoup de nos connaissances actuelles nous parviennent soit
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des écrits survivants de l’Ère précédente, soit de recherches archéologiques,
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soit de recherches linguistiques.
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Peu de choses sont connues sur ce peuple, du fait de sa distance avec nous,
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et du peu d’éléments dont nous disposons directement ou indirectement.
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Beaucoup de nos connaissances actuelles nous parviennent soit des écrits
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survivants de l’Ère précédente, soit de recherches archéologiques, soit de
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recherches linguistiques.
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Le nom de la langue fut choisi par des linguistes de l’Ère ancienne, très
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probablement du fait de la signification du mot : « nous ». Il semblerait
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également que le terme ait été utilisé par le peuple {{{nyqy(Ñyqy)}}} pour se
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désigner lui-même, mais nous disposons de trop peu de preuve afin de pouvoir
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affirmer cela avec certitude. Le terme s’analyse en deux morphèmes basiques,
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{{{nyqy(ñy)}}} et {{{nyqy(qy)}}}. Le terme {{{nyqy(ñy)}}} est le pronom personnel du singulier,
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et {{{nyqy(qy)}}} qui le suit a plusieurs utilisations, le chiffre /6/ (le
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{{{nyqy(Ñyqy)}}} est une langue dont le système numérique est un système hybride
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entre une base six et une base treize) ou bien la pluralité, ici
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désigner lui-même, mais nous disposons de trop peu de preuve permettant
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d’affirmer cela avec certitude. Le terme s’analyse en deux morphèmes
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basiques, {{{nyqy(ñy)}}} et {{{nyqy(qy)}}}. Le terme {{{nyqy(ñy)}}} est le pronom personnel du
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singulier, et {{{nyqy(qy)}}} qui le suit a plusieurs utilisations, le chiffre /6/
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(le {{{nyqy(Ñyqy)}}} est une langue dont le système numérique est un système
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hybride entre une base six et une base treize) ou bien la pluralité, ici
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infléchissant le {{{nyqy(ñy)}}} afin de former la première personne du pluriel.
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Il est à noter que le nom de cette langue est traditionnellement écrite en un
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certains de mes collègues utilisent, tentant de corriger cette erreur
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maintenant multi-centenaire. Bien que je salue leur initiative je continuerai
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de nommer cette langue « Ñyqy » dans cet ouvrage afin de suivre la norme et
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afin de ne pas rendre confus certaines personnes n’ayant jamais rencontré
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cette néographie, et je présente mes excuses à ces collègues.
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afin de ne pas désorienter les personnes n’ayant encore jamais rencontré
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cette néographie, et pour cela je présente mes excuses aux collègues
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sus-mentionnés.
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Parfois, d’autres personnes s’y référeront en tant que « proto-Ñyqy », ou
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Dans certains cas, d’autres s’y référeront en tant que « proto-Ñyqy », ou
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« proto Ñy Qy », mais cette dénomination est plutôt rare étant donné
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l’absence totale d’autres langues nommées « Ñyqy ». Elle n’est généralement
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utilisée que si le locuteur souhaite insister sur la nature de la langue
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l’absence totale d’autres langues nommées « Ñyqy ». Ce cas ne se présente
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généralement que si le locuteur souhaite insister sur la nature de la langue
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comme langue mère de sa famille.
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** Recherches précédentes
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@ -272,13 +273,15 @@
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:CUSTOM_ID: h-15a213ff-d8f9-479b-a426-08d65de30d5d
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:END:
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Comme mentionné plus tôt, le Ñyqy est l’objet depuis fort longtemps de
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recherches linguistiques, tout d’abord par des linguistes hélas aujourd’hui
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anonymes ayant vécus lors de l’Ère précédente. Leurs connaissances étaient
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sans doute beaucoup plus vastes que ce que nous avons pu récupérer,
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probablement similaires à celles dont nous disposons aujourd’hui, mais comme
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tout le monde le sait, seul peu de témoignages de cette époque ont pu nous
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parvenir, et les restes de l’Université de Ðbńo relève du miracle
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archéologique.
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recherches linguistiques, tout d’abord par des linguistes ayant vécus lors de
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l’Ère précédente. Ces linguistes sont pour la plupars devenu malheureusement
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anonymes, leurs noms ayant été effacés par le temps ; seuls Jehhe Chorr
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Ovehhe et Airr Yndn Ovehhi peuvent encore être crédités pour leurs recherches
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sur le sujet. Les connaissances de tous ces linguistes d’un autre temps
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étaient possiblement bien plus vastes que ce que nous avons pu récupérer,
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probablement similaires à celles dont nous disposons aujourd’hui. Cependant,
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nous savons que seul peu de témoignages de cette époque ont pu nous parvenir,
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et que les restes de l’Université de Ðbńo relève du miracle archéologique.
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Ces premières recherches, une fois traduites, ont servi de base aux deux
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derniers siècles de recherche en direction du Ñyqy, avec notamment les
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@ -296,68 +299,102 @@
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# - What is the dominant economic activity of the people?
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# - Briefly describe the ecosystem, material culture, and cosmology (they will
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# be intimately related)
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Ce qui suit est un résumé de ce que l’on sait sur le peuple Ñyqy. Pour plus
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de détails, vous pouvez vous référer à l’ouvrage /Le peuple Ñyqy/ de
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K. Yerth, 3404. Un avertissement est tout de même nécessaire :
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||||
Les informations suivantes résument nos connaissances sur le peuple Ñyqy.
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||||
Pour plus de détails, vous pouvez vous référer à l’ouvrage /Le peuple Ñyqy/
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||||
du professeur K. Yerth, 3404. Un avertissement est tout de même nécessaire :
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#+BEGIN_QUOTE
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Nous n’avons que très peu de preuves et témoignages directs sur le peuple
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Ñyqy autre que par les ouvrages des scientifiques de l’Ère ancienne, et
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actuellement par les recherches linguistiques faites par des chercheurs
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actuellement par les recherches linguistiques menées par des chercheurs
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contemporains à cet ouvrage. Par conséquent, même si les anciens paraissaient
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très confiants dans leurs découvertes, il nous est impossible d’affirmer ce
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que l’on sait sur ce peuple comme étant un fait, mais simplement comme une
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forte probabilité que c’était en effet le cas. La recherche actuelle sur ce
|
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très confiants dans leurs découvertes, il nous est impossible de considérer
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nos connaissances comme des faits indéniables. La recherche actuelle sur ce
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peuple et les hypothèses et théories peuvent sembler très solides, mais à
|
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bien y regarder, elles ne le sont qu’entre elles, en supposant que ce que les
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scientifiques de l’Ère ancienne ne se trompaient pas. Les seules bases
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tangibles auxquelles nous avons encore accès sont celles posées par la
|
||||
linguistique historique, mais hélas celle-ci se repose également fortement
|
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sur ces incertitudes que nous avons.
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bien y regarder, elles ne le sont qu’entre elles. De plus, ces dernières se
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basent sur la supposition que les scientifiques de l’Ère ancienne ne se
|
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trompaient pas. Les seules bases tangibles auxquelles nous avons encore accès
|
||||
sont celles posées par la linguistique historique, mais hélas celle-ci se
|
||||
repose également fortement sur ces incertitudes que nous avons. Cependant,
|
||||
les informations en notre possession nous pousse à affirmer que notre savoir
|
||||
a une forte probabilité d’être fiable ; en effet, les scientifiques chez les
|
||||
Anciens sont réputés fiables et efficaces, et les théories actuelles sont
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majoritairement cohérentes entre elles.
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— K. Yerth
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#+END_QUOTE
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Le peuple Ñyqy était un peuple vivant dans l’actuel Rhésode, dans la vallée
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du Mojhal. Son cœur économique se situait selon toutes évidences dans le
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delta du fleuve Mojhal, où la première forme de civilisation connue est
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apparue. Leur activité principale était basée principalement sur
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l’agriculture, en particulier sur la culture d’un grain pouvant être selon
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les sources du blé ou du riz, voire les deux. Leur élevage était orienté
|
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principalement sur celui des vaches et des porcs. Une importante activité
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d’échange fluviale s’était probablement déjà développée, ainsi qu’une
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activité de pêche dans la zone maritime de la vallée du Mojhal. Il est
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Le peuple Ñyqy était un peuple vivant dans l’actuel Rhésode, plus précisément
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dans la vallée du Mojhal. Son cœur économique se situait dans le delta du
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fleuve Mojhal, où la première forme de civilisation connue est apparue. Leur
|
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activité principale était l’agriculture, en particulier sur la culture d’un
|
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grain pouvant être selon les sources du blé ou du riz, voire les deux. Dans
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le cas où seul l’un des deux était utilisé, il nous serait impossible de
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trancher ; les deux graines auraient très bien pu être plantées dans la
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région, et on retrouve dans les langues descendantes du Ñyqy des termes issus
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de {{{nyqy(eco)}}} portant une signification ou l’autre, d’où la définition
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actuelle du terme « blé, riz, grain commestible ».
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L’élevage était orienté principalement sur celui des vaches et des porcs. À
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nouveau, une incertitude plane cependant sur le terme {{{nyqy(qóñ)}}} signifiant
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« vache ». Selon les recherches portant sur la faune théorique de l’époque,
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et au vu de la région tropicale soumise aux moussons, il est très probable
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qu’il s’agissait plutôt de buffles. Le terme /qóñ/ aurait pris la
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signification de « vache » lors de la migration des peuples descendants vers
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le nord, domesticant alors plutôt les vaches que les buffles alors que
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d’autres peuples arrivaient dans l’ancienne zone occupée par le peuple Ñyqy.
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Cela pourrait expliquer pourquoi la reconstruction du terme pour /buffle/ n’a
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pas été possible. Étrangement, aucune reconstruction d’un quelconque terme
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pour /éléphant/ n’a pu être possible, alors que des fouilles ont prouvé que
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ces animaux vivaient dans la zone. Il est possible que le terme ait disparu
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du fait de son inutilité nouvelle dans les terres plus au nord.
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Une importante activité d’échange fluviale s’était probablement déjà
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développée, ainsi qu’une activité de pêche dans la zone maritime de la vallée
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du Mojhal. En effet, un important vocabulaire lié au champs lexical de la
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navigation maritime et fluviale, de la pêche et des échanges commerciaux a
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put être reconstruit.
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Suivant l’évolution des climats et le climat actuel de la région, il est
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également très probable qu’ils aient eu accès à l’une des forêts tropicales
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se situant dans cette zone, leur donnant un accès abondant en bois de
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qualité, très utilisé pour la construction de leurs bâtiments et de leurs
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outils, ainsi qu’à une vaste variété de végétaux dont des fruits et légumes
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qui leur aurait été possible alors de cultiver. Étrangement, Aucune
|
||||
reconstruction d’un quelconque terme pour /éléphant/ ou /buffle/ n’a pu être
|
||||
possible, alors que des fouilles ont prouvé que ces animaux vivaient dans la
|
||||
zone.
|
||||
qui leur aurait été possible alors de cultiver.
|
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||||
Le mode de vie était ainsi donc principalement sédentaire, et il semblerait
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que les familles vivaient ensemble sous le même toit, dans des maisons
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communales {{{nyqy(súmusq)}}} ; cela inclus tous les membres de la famille
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descendant de l’ancêtre commun le plus âgé, ainsi que leurs époux ou épouses
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respectifs.
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respectifs. Ces maisons étaient principalement faites de paille et argile
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séchée pour ce qui est des murs tandis que le toit était possiblement un
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mélange de paille et de grandes feuilles séchées pour les maisons humbles,
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tandis que les maisons plus riches avaient probablement des tuiles d’argile.
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L’entrée n’était sans doute fermée que par un voile de tissu ; en effet, on
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retrouve dans beaucoup de langues descendantes du Ñyqy les termes pour
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« porte » et « tissu » descendants du terme {{{nyqy(séwe)}}}.
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||||
Sur ce dernier point, il semblerait qu’il n’y avait pas de tendance
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particulière quant à qui rejoignais la famille de qui parmi les familles
|
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représentant le bas peuple, composées principalement de paysans, d’artisans
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et de petits marchants. En revanche, il semblerait qu’il était beaucoup plus
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fréquent pour les hommes de rejoindre la famille de leur femme une fois
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mariés si la famille pouvait être considérée comme riche ou importante, par
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exemple si il s’agit d’une famille de riches marchands ou une famille
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détenant un pouvoir militaire.
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Concernant le mariage, il semblerait qu’il n’y avait pas de tendance
|
||||
particulière quant à qui rejoignait la famille de qui parmi les familles
|
||||
représentant le bas peuple, composées principalement de paysans, d’artisans
|
||||
et de petits marchands. En revanche, il semble qu’il était bien plus fréquent
|
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pour les hommes de rejoindre la famille de leur femme une fois mariés si
|
||||
cette dernière était considérée comme riche ou importante, par exemple si il
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s’agit d’une famille de riches marchands ou une famille détenant un pouvoir
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militaire. On suppose également que le mariage était à l’époque uniquement
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monogame.
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Dans chaque agglomération se trouvait au moins un temple où le peuple Ñyqy
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pratiquaient leur religion polythéiste. Il est cependant impossible de savoir
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s’il s’agissait de croyances liées à la religion qui dominait l’Ère ancienne.
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Les seuls points communs sont la vénération de plusieurs dizaines de dieux au
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moins, ainsi que la vénération des étoiles et du feu, et les dieux liés à ces
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éléments semblent prendre une place beaucoup plus importante dans la vie
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quotidienne du peuple Ñyqy que les autres.
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Les points communs de ces pratiques sont la vénération de plusieurs dizaines
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de dieux. De plus, la vénération des étoiles et du feu, ainsi que les dieux
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qui y sont liés semblent prendre une place beaucoup prédominante dans la vie
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quotidienne du peuple Ñyqy. Les lunes majeures Nuya et Norya sont également
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toutes deux importantes dans leur culture, régissant très probablement leur
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calendrier. Mais étrangement, comme pour toutes les langues de l’Ère
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Ancienne, il nous est impossible de retracer l’origine du nom de la lune
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mineure Lettri, tandis que Norya semble avoir été considérée comme mineure.
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** Démographie
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:PROPERTIES:
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@ -378,15 +415,16 @@
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dans toute zone se situant à moins de sept lieues de ce tronçon du Mojhal.
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Cela représente une surface vaste, très certainement indicateur d’une unité
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politique tout du moins de la région, comme par exemple un royaume ou un
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empire. Il est également possible qu’il s’agissait d’une continuité de petits
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royaumes ou États-cités dont la /lingua franca/ était le Ñyqy ce qui, dans ce
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cas, indiquerait que le peuple Ñyqy était le peuple dominant économiquement
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ou politiquement dans la région. Les autres peuples théoriques vivant dans la
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zone d’influence du Ñyqy parlaient sans doute leur propre langue, mais ces
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dernières n’ont pas eu autant d’impact si ce n’est aucun d’un point de vue de
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l’histoire de la linguistique (possiblement au mieux des mots d’emprunts du
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Ñyqy, mais nous n’avons aucun moyen de le prouver), ce qui renforce l’idée
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||||
que ces langues locales étaient marginalisées au profit du Ñyqy.
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empire. Cependant, l’hypothèses d’une continuité de petits royaumes ou
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États-cités dont la /lingua franca/ était le Ñyqy reste une possibilité. Dans
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ce cas, cela indiquerait que le peuple Ñyqy était le peuple dominant
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économiquement ou politiquement dans la région. Les autres peuples théoriques
|
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vivant dans la zone d’influence du Ñyqy parlaient sans doute leur propre
|
||||
langue, mais ces dernières n’ont pas eu autant d’impact si ce n’est aucun
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d’un point de vue de l’histoire de la linguistique (possiblement au mieux des
|
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mots d’emprunts du Ñyqy, mais nous n’avons aucun moyen de le prouver), ce qui
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renforce l’idée que ces langues locales étaient marginalisées au profit du
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Ñyqy.
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Bien qu’il nous soit impossible de connaître le type de relations
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qu’entretenaient le peuple Ñyqy avec ses voisins, il est tout à fait probable
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@ -429,13 +467,11 @@
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maison GEN 1sg
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C’est ma maison
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2. {{{nyqy(bú qi pim mo coq)}}}
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2sg deux pomme PST manger
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Nous avons mangé une pomme
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3. {{{nyqy(ñy qun gó)}}}
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1sg OPT boire
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@ -1311,7 +1347,6 @@
|
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- Je dors.
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Verbe intransitif, « je » est expérienceur S.
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- Je mange une pomme.
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Verbe transitif, « je » est agent A, et « pomme » est patient P.
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@ -1338,7 +1373,6 @@
|
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1sg-ABS dormir
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Je dors
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- {{{nyqy(ñy-0 pim-0 coq)}}}
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1sg-ERG pomme-ABS manger
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Reference in New Issue
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