added lore for Ñyqy

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les sources du blé ou du riz, voire les deux. Leur élevage était orienté
principalement sur celui des vaches et des porcs. Une importante activité
déchange fluviale sétait probablement déjà développée, ainsi quune
activité de pêche dans la zone maritime de la vallée du Mojhal.
activité de pêche dans la zone maritime de la vallée du Mojhal. Il est
également très probable quils aient eu accès à lune des forêts tropicales
se situant dans cette zone, leur donnant un accès abondant en bois de
qualité, très utilisé pour la construction de leurs bâtiments et de leurs
outils, ainsi quà une vaste variété de végétaux dont des fruits et légumes
qui leur aurait été possible alors de cultiver. Étrangement, Aucune
reconstruction dun quelconque terme pour /éléphant/ ou /buffle/ na pu être
possible, alors que des fouilles ont prouvé que ces animaux vivaient dans la
zone.
Le mode de vie était ainsi donc principalement sédentaire, et il semblerait
que les familles vivaient ensemble sous le même toit, dans des maisons
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pratiquaient leur religion polythéïste. Il est cependant impossible de savoir
sil sagissait de croyances liées à la religion qui dominait lÈre ancienne.
Les seuls points communs sont la vénération de plusieurs dizaines de dieux au
moins, ainsi que la vénération des étoiles et du feu.
moins, ainsi que la vénération des étoiles et du feu, et les dieux liés à ces
éléments semblent prendre une place beaucoup plus importante dans la vie
quotidienne du peuple Ñyqy que les autres.
** Démographie
:PROPERTIES:
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# Social? Friendly? Belligerent?
# - In social/economic interactions with other groups, which groups are
# dominant and which are marginalized? How so?
Selon toute vraissemblance, le Ñyqy était parlé dans la vallée du Mojhal,
dans lactuel Rhésode. Bien quil soit quasiment impossible de déterminer la
superficie maximale couvrant cette région, il est considéré prudent
daffirmer que la langue était au moins parlée depuis le delta du Mojhal,
cœur économique de la région, jusquà son confluent avec le Lor ainsi que
dans toute zone se situant à moins de sept lieues de ce troçon du Mojhal.
Cela représente une surface vaste, très certainement indicateur dune unité
politique tout du moins de la région, comme par exemple un royaume ou un
empire. Il est également possible quil sagissait dune continuité de petits
royaumes ou États-cités dont la /lingua franca/ était le Ñyqy ce qui, dans ce
cas, indiquerait que le peuple Ñyqy était le peuple dominant économiquement
ou politiquement dans la région. Les autres peuples théoriques vivant dans la
zone dinfluence du Ñyqy parlaient sans doute leur propre langue, mais ces
dernières nont pas eu autant dimpact si ce nest aucun dun point de vue de
lhistoire de la linguistique (possiblement au mieux des mots demprunts du
Ñyqy, mais nous navons aucun moyen de le prouver), ce qui renforce lidée
que ces langues locales étaient marginalisées au profit du Ñyqy.
Bien quil nous soit impossible de connaître le type de relations
quentretenaient le peuple Ñyqy avec ses voisins, il est tout à fait probable
quils aient été en guerre tout comme ils été amicaux avec certains de leurs
voisins: en effet, des termes liés à la guerre, mais également aux échanges
culturels, mercantiles et amicaux ont pû être reconstruits.
** Corpus, reconstruction de la langue
:PROPERTIES: