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Grammaire du Hjalpi

Introduction

Le Hjalpi est la langue parlée par les dieux dans lunivers de mon roman. La langue dont je présente ci-dessous la grammaire nest cependant pas réellement la langue divine mais la représente ; en effet, le Hjalpi a été imaginée comme étant bien trop complexe pour être entièrement apprise par un humain, lélaboration de phrases simples requière quelques années détudes déjà. Bien évidemment, il est impossible pour un humain de créer une telle langue, mais je reste toujours dans cette optique de création de langue complexe, et le résultat me paraîtra complexe mais il se peut que pour certains (du fait des langues quils maîtrisent déjà) naient pas cette impression.

Cette langue sera également utilisée pour créer dautres langues qui auront évolué depuis la langue divine en des langues (me paraissant) beaucoup plus simples afin de créer des langues pour les mortels.

Phonologie

Dans cet ouvrage, jutiliserai principalement la translittération des mots, expressions et phrases du Hjalpi pour illustrer mes propos, exemples et explications de la grammaire de cette langue. Toutefois, il est important de savoir comment correctement prononcer le Hjalpi, et pour cela jutiliserai lalphabet phonétique international afin de retranscrire la prononciation correcte du Hjalpi. Il est important de relever les deux styles différents de transcription phonétique qui seront utilisés dans cet ouvrage :

transcription large
ce type de transcription ne prend pas en compte les divers cas dallophonie présents en Hjalpi et retranscrit individuellement chaque symbole ayant une signification phonétique dans son orthographe translittérée.
[transcription rapprochée]
ce style de transcription prend en compte les changements de prononciation dû aux modifications entre phonèmes. Cela représente donc la prononciation réelle des locuteurs, qui nest pas représentée de manière exacte par la translittération du Hjalpi.

Généralement, jutiliserai la transcription large lorsque jaurai besoin de transcrire de façon phonétique des éléments de langage, à moins que je souhaite que vous, le lecteur, portiez votre attention sur un élément particulier de la prononciation de la langue divine, auquel cas juserai de la transcription rapprochée, comme lors de la discussion sur lallophonie. La prononciation des mots du glossaire sera notée en transcription large.

<<phon-voyelles>>Voyelles

Le Hjalpi dispose dun inventaire de voyelle très large comparé à la majorité des langues existantes dans notre monde, avec dix-sept voyelles simples, et quelques autres diphtongues (discutées plus bas dans Diphtongues). Voici la liste des voyelles utilisées dans le Hjalpi :

/ >
antérieures postérieures
fermées i / y u
pré-fermées í / ý ú
mi-fermées e / ò o
mi-ouvertes é / ö ó
ouvertes a á
Voyelles du Hjalpi

Le Hjalpi dispose également de deux consonnes syllabiques, le ń et le ĺ, qui sont respectivement le n et le l prononcés comme des voyelles. Voici ci-dessous le même tableau, avec chaque voyelle remplacée par sa valeur phonétique en IPA :

/ >
antérieures postérieures
fermées iː / yː uː
pré-fermées ɪ / ʏ ʊ
mi-fermées eː / øː oː
mi-ouvertes ɛ / œ ɔ
ouvertes aː ɑ
Voyelles du Hjalpi (IPA)

Avec le ń et le ĺ ayant respectivement pour valeuret.

On peut remarquer que, à lexception de ń et ĺ, toutes les voyelles ont un couple ouverte-courte/fermée-longue. Dans les mots racine (cest à dire non altérés par une quelconque règle grammaticale), la distinction revêt une importance capitale, porteuse de sens et de distinction de certains mots entre eux. Ainsi, þran [θrãː] naura pas la même signification que þrán [θrɑ̃] (pour lexplication de la prononciation, voir lallophonie). En revanche, comme on le verra plus tard, les addition grammaticales verront leurs voyelles saccorder avec les voyelles du mot racine en ouverture-longueur.

Voyelles courtes

  • ɑ : á

Le á est une voyelle ressemblant au « â » que lon retrouve en français dans des mots tels que «pâte». Il sagit de la voyelle ouverte antérieure non-arrondie.

  • œ : ö

Il sagit ici du son «eu» tel quon le retrouve en français tel que dans le mot «neuf».

  • ɪ : í

Cette voyelle est une voyelle se situant entre le son «i» et le son «e» ; on peut le retrouver en anglais dans des mots tels que «hit» ou «this». Il sagit de la voyelle pré-fermée antérieure non-arrondie.

  • ɛ : é

Nous avons ici la voyelle « è » que lon retrouve en français par exemple dans le mot «cette».

  • ɔ : ó

Il sagit du «o» ouvert, que lon retrouve en français dans le mot «sort» par exemple.

  • ʏ : ý

Cette voyelle est un équivalent du «u» français ouvert, que lon peut retrouver en Allemand comme dans «Müller» par exemple. Il sagit de la voyelle antérieure pré-fermée arrondie.

  • ʊ : ú

Cette voyelle est un équivalent du «ou» Français ouvert, telle que lon peut la retrouver dans le mot «book» en Anglais britannique.

Voyelles longues

  • aː : a

Cette voyelle est le «a» que lon peut retrouver dans le français tel que dans «patte», à la différence que le «a» de le Hjalpi est prononcé un peu plus longuement que le «a» français.

  • øː : ò

Cette voyelle est la même que le «eu» français que lon retrouve dans le mot «deux», à la différence que le « ò » divin est prononcé un peu plus longuement que le «eu» français.

  • iː : i

Cette voyelle est la même que le «i» français, à la différence que le «i» de le Hjalpi est prononcé un peu plus longuement que le «i» français.

  • eː : e

Cette voyelle est la même que le « é » français, à la différence que le «i» de le Hjalpi est prononcé un peu plus longuement que le «i» français.

  • oː : o

Cette voyelle est la même que le «o» français comme dans «eau», à la différence que le «o» de le Hjalpi est prononcé un peu plus longuement que le «o» français.

  • yː : y

Cette voyelle est la même que le «u» français, à la différence que le «u» de le Hjalpi est prononcé un peu plus longuement que le «u» français.

  • uː : u

Cette voyelle est la même que le «ou» français, à la différence que le «ou» de le Hjalpi est prononcé un peu plus longuement que le «ou» français.

<<cons-syll>>Consonnes syllabiques

  • : ń

Le « ń » est la consonne «n» (la même que le «n» standard français), mais considérée et prononcée comme une voyelle, tel quon peut lentendre dans certains mots anglais comme dans «button» qui peut être prononcé bʌtn̩.

  • : ĺ

Le « ĺ » est la consonne «l» (la même que le «l» français), mais considérée et prononcée comme une voyelle, tel quon peut lentendre dans certains mots anglais comme dans «bottle» qui peut être prononcé bɔtl̩, avec leʊ qui est omis et le l devenant syllabique.

<<phon-diphtongues>>Diphtongues

<<phon-consonnes>>Consonnes

En plus dun important inventaire de voyelle, le Hjalpi dispose également dun inventaire de consonnes assez important. Voici ci-dessous lesdites consonnes :

/ > > > > > > > > > > >
bilab. lab.-dent. dent. alv. pal.-alv. rétro. palat. vélaire uvulaire glottal
nasal m n ň
occlusif p b t d ţ ḑ k g '
fricatif f v þ ð s z ß ź š ž x ŗ h
spirante ŕ j
roulé r
fric.-lat. ł
spir.-lat. l
semi-voyelles w
Consonnes du Hjalpi
/ > > > > > > > > > > >
bilab. lab.-dent. dent. alv. pal.-alv. rétro. palat. vélaire uvulaire glottal
nasal m n ŋ
occlusif p b t d ʈ ɖ k ɡ ʔ
fricatif f v θ ð s z ʃ ʒ ç ʝ χ ʁ h
spirante ɹ j
roulé r
fric.-lat. ɬ
spir.-lat. l
semi-voyelles w
Consonnes du Hjalpi (IPA)

Accentuation

Laccentuation des mots en langue divine porte sur lavant-dernière voyelle racine si le mot racine dispose de deux syllabes ou plus, sur la voyelle racine unique sinon. Laccentuation des mots étant régulière, elle nest pas marquée par lorthographe et la translittération de la langue. Pour ce qui est de laccentuation des phrases, le ton est généralement tombant, avec le terme que le locuteur estime le plus important de la phrase bénéficiant dune remontée du ton sur ce terme précisément. Si le locuteur estime que le terme est très important, alors il peut même le prononcer avec une voix de tête, voire étirer de manière exagérée la première syllabe racine du terme. Un verbe interrogatif bénéficie nécessairement de la remontée du ton de la phrase sur ce terme, tandis quune phrase exclamative voit son ton recommencer à descendre à partir de la même hauteur que celle du début de phrase. Une phrase affirmative continue la descente de ton jusquà la dernière syllabe racine qui bénéficie dune accentuation.

Romanisation et translittération

La romanisation et la translittération dune langue sont deux choses très différentes ; en effet, la première a pour but de représenter de façon grossière la prononciation de la langue avec lalphabet latin, sans se soucier de lorthographe exacte, tandis que la translittération a pour but de reproduire de manière précise lorthographe de la langue transcrite, sans se soucier de savoir si le lecteur saura prononcer correctement la transcription sil na pas été initié avant à la langue transcrite.

Pour moi le meilleur exemple que je puisse donner pour ce qui est de la différence entre romanisation et translittération est en Tibétain. Nous avons des termes Tibétain romanisés “dorje”, “chorten” ou encore “yak” en anglais dont une de leur translittération possible respective est “rdo rje”, “mchod brten” et “gyag”. Bien évidemment, toute personne nayant aucune notion de translittération du Tibétain et/ou de son orthographe peut être confuse quant à ce quils viennent de lire, et cest tout naturel : leur but est de savoir précisément comment écrire ces mots, et une personne sachant écrire en tibétain pourra, en ayant lu ces exemples, écrire les mots sans faute si je nen ai pas fait non plus à la rédaction de cet ouvrage. Comme je lai indiqué, il sagit dans cet exemple dune romanisation anglophone ; en effet, la romanisation dépend de la langue du lecteur. Étant donné que ce dernier doit pouvoir se forger une idée de la prononciation du mot étranger, il faut utiliser les conventions de lecture de lalphabet de sa propre langue afin dapprocher au mieux la prononciation originale. Ainsi, “dorje” en anglais pourrait être écrit «dordjé» en français, “chorten” pourrait être écrit «tchortène» («yak» garde la même orthographe dans les deux langues, et est même dans les dictionnaires anglophones et francophones).

Ainsi, dans mon (ou mes?) livre(s ?) qui sadressera (sadresseront?) à un public général, jutiliserai des romanisation de la langue divine si je souhaite que le lecteur ait une idée de la prononciation du mot ou de la phrase quil vient de rencontrer et à linverse, si je souhaite être plus graphique, jutiliserai soit la translittération, soit lécriture native du Hjalpi. Toujours est-il que dans cette référence grammaticale, je nutiliserai que de la translittération (les graphèmes et lettres correspondantes furent décrites dans Consonnes et Voyelles), et ne ferai usage de la romanisation que dans ce chapitre où jexplique ci-dessous le processus de lécriture du Hjalpi en romanisation.

Voici ci-dessous un tableau avec chaque phonème du Hjalpi, sa translittération, et sa romanisation francophone. Pour un équivalent anglophone, se référer à la version anglophone de cet ouvrage si cette dernière existe.

/ > >
phonème trans. rom.
iː i i
yː y u
uː u ou
ɪ í i
ʏ ý u
ʊ ú ou
eː e é
øː ò e
oː o o
ɛ é è
œ ö eu
ɔ ó au
aː a a
ɑ á a
Translittération des voyelles du Hjalpi
/ > > <> > >
phonème trans. rom. phonème trans. rom.
p p p b b b
t t t d d d
ʈ ţ tr ɖ dr
k k k ɡ g g
f f f v v v
θ þ th ð ð dh
s s s z z z
ʃ ß sh ʒ ź j
ç š sh ʝ ž jh
m m m n n n
ŋ ň ng ʔ
r r r h h h
χ x rh ʁ r r
ɬ ł lh ɹ r r
l l l j j y
w w w
Translittération des consonnes du Hjalpi

Phonologie dérivationnelle

Le Hjalpi est une langue riche en dérivation phonétiques du fait de sa grammaire agglutinative et fusionnelle. Les noms changent selon leur nombre, leur rôle au sein de la phrase (leur cas grammatical), les verbes saccordent en genre et en nombre, selon lobjectivité, le mode ou lun des nombreux temps de la phrase ou de la proposition. Lutilisation de chacun de ces éléments sera traité dans le chapitre traitant de la syntaxe. Le chapitre actuel servira principalement de référence condensée pour savoir comment accorder les divers éléments entre eux.

Ci-dessous se trouve une liste dabréviations que lon trouvera souvent dans les règles formelles :

  • C = consonne
  • V = voyelle
  • N = nasale
  • F = fricative
  • P = consonne labiale
  • L = voyelle longue
  • S = voyelle courte
  • # = limite dun mot
  • Ø = silencieux, muet, rien

<<allophonie>>Allophonie

En Hjalpi, il existe de nombreuses règles sur la modification de prononciation de phonèmes selon leur emplacement au sein dun mot et leur environnement phonétique, donnant lieu à des allophones desdits phonèmes. Ces règles sont les dernières règles à sappliquer sur la modification de prononciation des mots, les autres règles comme les accords des voyelles ou les accords des consonnes sappliquant avant les règles dallophonie. Ces règles sappliquent dans leur ordre dapparition ci-dessous.

Voyelles

Il existe relativement peu dallophones parmi les voyelles de le Hjalpi, cependant on peut en relever certains comme suit :

  • La prononciation standard du « ń », comme mentionné ci-dessus dans Consonnes syllabiques, est. Cependant, cette voyelle peut également être prononcée si le ń est précédé et/ou suivi par une consonne bilabiale, et il peut être palatalisé enɲ̩ oum̩ʲ si le ń est également adjacent à une des voyelles i ou í, ou bien la consonne j (notées I).

    • > [m̩] / _P
    • > [m̩] / P_
    • > [ɲ̩] / _I
    • > [ɲ̩] / I_
    • > [m̩ʲ] / P_I
    • > [m̩ʲ] / I_P
  • Le « ĺ » peut également être palatalisé en cas dadjacence à une des voyelles i ou í ou bien la consonne j, et donc être prononcéel̩ʲ.

    • > [l̩ʲ] / _I
  • Une voyelle ou un groupe de voyelles placé devant une consonne nasale se nasalise.

    • V > [+nasal] / _N

Consonnes

Plusieurs de ces consonnes disposent dallophones, cest à dire de prononciations alternatives à la prononciation exacte mentionnée plus haut, sans que cela naffecte le sens des mots ou le sens dune phrase.

  • La prononciation standard du f et v sont respectivement /f/ et /v/, cependant il arrive également quils soient respectivement prononcés /p\/ et /B/ entre deux voyelles, ou en début de mot si immédiatement suivis dune voyelle ou dune semi-consonne (également notée V).

    • f > [ɸ] / #_V
    • f > [ɸ] / V_V
    • v > [β] / #_V
    • v > [β] / V_V
  • Le ɦ est considéré comme étant un allophone du h. Cet allophone se produit entre deux voyelles, en début de mot immédiatement suivit dune voyelle, entre une consonne voisée et une voyelle, ou une voyelle et une consonne voisée. En revanche, au contact du i, í ou j (notés I), le h se palatalise en un ç. Similairement, un ɦ obtenu grâce au premières règles ci-dessous change en ʝ.

    • h > [ɦ] / #_V
    • h > [ɦ] / V_V
    • h > [ç] / _I
    • h > [ç] / I_
    • [ɦ] > [ʝ] / _I
    • [ɦ] > [ʝ] / I_
  • Le ŗ a pour prononciation standard leʁ, cependant il est généralement prononcéʀ entre deux voyelles et/ou consonne voisée (notées V).

    • ʁ > [ʀ] / V_V
  • Le x est habituellement prononcéχ, cependant il est prononcéx lorsquil est en contact avec une consonne fricative sourde (notée FS).

    • χ > [x] / FS_
    • χ > [x] / _FS
  • Une consonne nasale devient silencieuse si elle est précédée dune voyelle et suivie dune consonne ou dun silence. Cela fait suite à la nasalisation de la voyelle précédente.

    • N > Ø / V_#
    • N > Ø / V_C
  • Si deux consonnes fricatives toutes deux voisées ou sourdes se suivent successivement, même entre deux mots distincts, la première fricative devient silencieuse.

    • F > Ø / _F
  • Si une consonne fricative voisée (notée FV) est précédée par une fricative sourde (notée FS), elle devient elle-même sourde. À linverse, si une fricative sourde est précédée par une fricative voisée, la première devient également voisée.

    • FS > [+voisée] / FV_
    • FV > [+sourde] / FS_

Exemples

raòm
raøm est prononcé [rãø̃]

<<deriv-accord-voy>>Accord des voyelles

Laccord des voyelles a lieu principalement lors de la déclinaison dun nom ou de la conjugaison dun verbe, lors dun cas où la juxtaposition dune voyelle à une autre est obligatoire. Cela donne alors lieu à un accord des voyelles.

  1. Les deux voyelles sont fusionnées en une diphtongue.
  2. Si lun des deux phonèmes est une consonne syllabique ń ou ĺ, alors celle-ci reste inchangée.
  3. Si la première voyelle est une diphtongue, alors le second phonème est remplacé par la seconde voyelle après que cette dernière ait été accordée en longueur à la longueur de premier phonème de la diphtongue.
  4. Si la seconde voyelle était également une diphtongue, alors elle perd son second phonème.
  5. Si le second phonème de la diphtongue est plus ouvert que le premier, alors il est refermé afin dêtre au moins aussi fermé que le premier phonème.
  6. Si le premier phonème de la diphtongue est une voyelle antérieure, alors elle devient son équivalent phonétique postérieur selon la table suivante :
/ >
phonème dorigine nouveau phonème
u y
ú ý
o ò
ó ö
á a

<<deriv-accord-cons>>Accord des consonnes

Phonotaxes

Attaque

Rime

Noyau syllabique
Coda

Morphologie

Noms

<<morpho-nom-genre>>Genre

Le Hjalpi est une langue riche en genres grammaticaux, étant donné quelle dispose de neuf genres différents

  1. Genre divin : se réfère à toute personne considérée comme divine, que ce soit par les Divins ou par les mortels (humains comme non humains). Aucune distinction nest faite selon leur sexe biologique. Les méduses, du fait dêtre une icône divine, sont considérées étant également du genre divin. Il se réfère également à ce qui fait partie de leur domaine, que ce soit leurs Demeures ou leurs Œuvres majeures, tels que les Tours ou le Temps.
  2. Genre mental : se réfère à tout élément non physique ou concept, comme des pensées ou des couleurs. Les lieux physiques et temporels sont également classifiés dans le genre mental. Bien que le temps en lui-même soit considéré comme étant du genre divin, les événements sont considérés comme étant des éléments mentaux.
  3. Genre liquide : se réfère, comme son nom lindique, à tout liquide, et en particulier à leau, mais ne couvre pas tous les fluides ; par exemple, lair nest pas considéré comme un liquide, malgré le fait que ce soit un fluide.
  4. Genre masculin humain : se réfère à tout être humain ou semi-humain mâle, ou à un groupe à prédominance numérique ou de puissance masculine.
  5. Genre féminin humain : se réfère à tout être humain ou semi-humain femelle, ou à un groupe à prédominance numérique ou de puissance féminine.
  6. Genre neutre humain : se réfère à tout être humain ou semi-humain dont on ne connaît pas le sexe biologique, ou si un groupe na pas de prédominance numérique ou de puissance masculine ou féminine.
  7. Genre animal : se réfère à tout être mortel nétant pas un humain ou semi-humain et étant animé.
  8. Genre végétal : se réfère à tout être mortel nétant pas un humain ou semi-humain, ou membre danimaux.
  9. Genre inanimé : se réfère à tout être non-vivant nétant pas inclus par les trois premiers genres.

Le genre est inclus sémantiquement dans chaque nom commun du Hjalpi, en revanche la majorité des éléments rattachés au nom saccorderont en genre, ainsi que les verbes suivant si le nom influe la conjugaison du verbe.

Le Hjalpi dispose également de quatre sur-genres, regroupant les genres en catégories qui sont utilisées dans certains contexte, comme pour la déclinaison ou la conjugaison des verbes.

  1. Le sur-genre supérieur : rassemble les genres divin et mental
  2. Le sur-genre humain : rassemble les genres humains (masculin, féminin et neutre)
  3. Le sur-genre vivant : rassemble les genres du vivant non-humain (animal et végétal)
  4. Le sur-genre inanimé : rassemble les genres liquide et inanimé

Une déclinaison des éléments humains neutres est possible, auquel cas on peut décliner ainsi lélément dont on souhaite changer le genre :

/ >
genre déclinaison
masculin -e
féminin -am

Ce genre de déclinaison est en général utilisé pour les mots se référant à un être humain dont le genre syntaxique est neutre, mais que lhumain référé est dun genre connu. Par exemple, si lon parle de plusieurs personnes de nombre inconnu (donc singulatif, voir les Nombres) mais que la majorité des individus est de genre féminin, alors on déclinera ðenmóíl (individu/personne) en ðenmóílelam (personne.sf.5g). La déclinaison en féminin saffixe à la déclinaison au singulatif du fait quil sagit du groupe qui prend le genre féminin, indiquant que le groupe nest pas uniquement mais majoritairement féminin. Si le groupe nest composé que de femmes, alors ðenmóíl se déclinera en ðenmóílamel (personne.5g.sf).

<<morpho-nom-nombre>>Nombre

En plus davoir une riche quantité de genres, le Hjalpi dispose également de cinq nombres distincts qui se marquent par une déclinaison du nom ou de lélément accordé en nombre (hormis le verbe).

/ > >
nombre déclinaison description
singulier (aucune) élément unique
singulatif -el ensemble déléments semblables
duel -(a)t deux éléments semblables
triel -(e)þ trois éléments semblables
pluriel -(o)st quatre éléments semblables ou plus

Le singulatif, comme décrit ci-dessus, est utilisé pour regrouper des éléments semblables et est une alternative au singulier ou pluriel dans le cas où lélément dont il est question est indénombrable ou éligible au pluriel mais le locuteur na pas didée précise du nombre déléments présents dans le groupe.

Pour des raisons grammaticales il existe également un sur-nombre, le super-singulier qui regroupe tous les nombres qui ne sont pas le pluriel. Le super-singulier est utile notamment pour les différentes déclinaisons possibles.

<<decl-morph-decl>>Déclinaisons

Les déclinaisons se présentent sous la forme de particules (préfixes, infixes et suffixes) à ajouter au mot racine. Voici un exemple dutilisation. Notez que la partie entre parenthèse peut ne pas être spécifiée, auquel cas il faudra se référer à lharmonisation des voyelles ou des consonnes selon le cas si une voyelle est accolée à une autre voyelle, de même pour les consonnes.

V(C)-
le préfixe est (ou fini par) une voyelle V, il se rajoute donc au début du mot racine. Si ce dernier commence avec une voyelle, la consonne C est rajoutée entre la voyelle V et le mot racine.
C(V)-
le préfixe est (ou fini par) une consonne, il se rajoute donc au début du mot racine. Si ce dernier commence avec une consonne, la voyelle (V) est rajoutée entre la consonne C et le mot racine.
-C1V(C2)-
linfixe commence par consonne, il se placera donc à la fin du mot racine, entre la dernière voyelle et la dernière consonne du mot racine. Si le mot racine se termine par une voyelle, lensemble C1VC2 agira comme un suffixe.
-(C1)VC2-
linfixe commence par une voyelle, il se placera donc au début du mot racine, entre la première consonne et la première voyelle. Si le mot racine commence par une voyelle, lensemble C1VC2 agira comme un préfixe.

Notez également que la ou les voyelles présentée dans le tableau saccorde en ouverture et longueur avec la voyelle du mot racine sur laquelle porte laccent. Ainsi, ajouts de voyelles sur mén via des déclinaisons saccorderont en voyelles longues et ouvertes. Si la juxtaposition de deux voyelles est obligatoire, se référer à laccord des voyelles ci-dessus. Si la juxtaposition de deux consonnes est obligatoire, se référer à laccord des consonnes, idem pour laccord des voyelles.

Voici ci-dessous un tableau exposant la forme de chaque déclinaison selon le cas grammatical et le genre/nombre. Le numéro se réfère au numéro du genre tel que décrit dans Genre, le super-singulier (tel que décrit dans Nombre) est représenté par «s» et le pluriel par «p». Bien que la déclinaison soit différente suivant la pluralité du nom et son genre, la déclinaison du nom se fait après lavoir accordé en genre et en nombre afin dassurer une certaine redondance de linformation, en particulier concernant le nombre, le super-singulier ne portant pas assez dinformation selon le standard du Hjalpi.

\newpage

/ <> > > > > > >
1s 1p 2s 2p 3s 3p
abessif e(m)- e(ň)- e(n)- e(n)- e(l)- e(dl)-
ablatif l(i)- l(e)- li(s)- le(ž)- l(i)- ĺ(ž)-
absolutif -(ts)a -(ts)a -(tß)a -(tß)a -(ts)a -(ts)a
accusatif -vo -vwo -vu -vwu -vo -vo
accusatif-temporel -źu -źu -źu -źu -źoy -źou
adessif ix(a)- ix(e)- ix(a)- ix(e)- ix(a)- ix(e)-
adverbial -ei -ey -ei -ei -ey -ey
allatif -li(ß)- -li(ts)- -li(ð)- -li(ð)- -li- -li-
antessif vwo(n)- vw(o)- v(o)- vw(o)- vwo- vo-
apudessif þ(e)- ð(e)- ð(e)- ðe- þ(e)- ð(e)-
aversif ł(e)- ł(e)- ła- ł(e)- ł(e)- ła-
bénéfactif -at -et -at -at -at -aţ
causal -(o)by -(o)bu -(u)by -(o)by -(ob)y -(b)y
comitatif -ðai- -ðei- -ðei- -ðai- -ðei- -ðey-
comparatif -(oi)r -(oi)r -(oi)r -(oi)ţ -(oi)r -(oi)t
datif -at- -et- -at- -at- -at- -aţ-
délatif ß(a)- ß(e)- ß(e)- ß(e)- ß(ai)- ß(a)-
distributif xe(š)- xe(l)- xe(ž)- xe(l)- ŗe(š)- ŗe(ž)-
distributif-temporel -be -be -ve -be -va -fe
élatif -(a)ły -(e)ły -(a)ły -(a)łu -(e)ły -(e)ły
équatif -(ń)t -(ń)t -(ń)t -(ĺ)t -(ń)st -(ń)ft
ergatif -(u)jo -(y)jo -(í)jo -(é)jo -(u)jo -(u)jo
essif -(þ)yd- -(þ)yd- -(þ)ud- -(þ)ud- -(þ)yd- -(þ)ud-
essif-formel -(ò)ţ -(ò)d -(o)d -(o)ḑ -(ò)d -(ò)ň
essif-modal -()uix -()uix -yiŗ -()yiŗ -()uŗ -()uiŗ
excessif -ex -ex -eŗ -ex -ix -ex
génitif ţ(y)- ţ(u)- ţ(y)- ţ(y)- ţ(y)- ţ(yi)-
identique -(e)tyr -(a)tur -(a)tyr -(e)tur -(e)tur -tyr
illatif -(p)òn- -(p)on- -(f)òn- -(f)on- -òn- -(p)òn-
inessif -(a)ŕo- -(e)ŕo- -ŕo(n)- -(ń)ŕo- -(a)ŕo- -ŕo-
initiatif -(a)kĺ -(k)ĺ -(e)kĺ -(a)kĺ -(k)ĺ -(k)ĺ
instructif -(e)ň -(e)ň -(a)ň -eň -(e)ň -(a)ň
instrumental -(d)ĺ -(d)ĺ -(d)ĺ -(ḑ)ĺ -(d)ĺ -(ḑ)ĺ
intratif -fu(þ)- -fu(ð)- -fu(ð)- -fu(ð)- -fy(þ)- -fy(ð)-
latif -(l)a -(l)ei -(l)òĺ -(l)e -(l)au -(l)ĺ
limitatif -(ò)mp -(e)mp -(ò)mp -(ò)mp -(ò)mp -(ò)mp
locatif l(a)- l(e)- l(i)- l(e)- le(þ)- l(e)-
nominal -(eu)s -(eu)ß -(eu)s -(eu)ßt -(eu)st -(eu)s
nominatif p(a)- p(e)- p(a)- p(e)- p(a)- p(a)-
oblique -(ŗ)eß -(ŗ)eßt -(ŗ)ef -(ŗ)eft -(ŗ)eß -(x)eß
orientatif f(o)- f(o)- f(u)- f(o)- þ(o)- f(o)-
partitif -i(l)- -i(l)- -y(l)- -u(l)- -i(l)- -i(l)-
pégatif ey- eu- ey- ey- eu- ei-
perlatif ž(u)- ž(y)- ž(u)- š(u)- š(y)- ž(u)-
pertingent m(a)- m(a)- m(a)- m(e)- mj(a)- mj(e)-
possessif -ţy -ţy -(i)ţy -ţy -(eu)ţ -(y)ţ
postessif -(u)ß -(u)ßt -(y)ß -(y)ž -(u)š -(u)št
privatif ei- ei- eń- ež- ei- éĺ-
prolatif š(a)- š(a)- š(e)- š(ae)- ž(a)- š(ay)-
révertif -ňo -ňò -ňò -ňò -ňe -ňò
semplatif -(ŗ)wo -(ŗ)wo -(ŗ)we -(ŗ)wo -(ŗ)wo -ŗwo
sociatif t(o)- t(e)- t(o)- t(o)- ţ(o)- te-
subessif ň(o)- ň(wo)- n(o)- n(wo)- ň(o)- ň(o)-
sublatif -(i)ţ -(i)ţ -(e)ţ -(i)ḑ -(i)ţ -(i)nţ
superessif tß(a)- tß(ań)-) tß(ai)- tßau- tß(e)- tß(a)-
temporel -(i)ňni -(i)ňni -(i)ňni -(i)mi -(i)ňni -(i)nji
terminatif -(ae)n -(ae)ň -(þ)aen -(ð)aen -(þ)aeň -(ae)m
translatif -(i)n -(i)n -(y)n -(e)n -in -(i)n
vocatif -wa -we -wa -wa -we -(d)wa
/ <> > > > > > >
4s 4p 5s 5p 6s 6p
abessif e(ň)- e(t)- e(st)- e(ßt)- e(nt)- e(ňt)-
ablatif li(ß)- li(ź)- li(ß)- li(ź)- li(s)- li(z)-
absolutif -(t)a -(š)a -(p)a -(v)a -(st)a -(ž)a
accusatif -(e)vo -(e)vo -(e)vo -(e)vo -(a)vo -(a)vo
accusatif-temporel -(a)źu -(e)źu -(u)źu -(ai)źu -(i)źu -(u)źu
adessif iź(a)- iź(ei)- iź(a)- iź(ei)- iź(a)- iź(ei)-
adverbial -ei -ai -ai -ei -eu -ey
allatif -li(s)- -li(ź)- -li(z)- -li(š)- -li(x)- -li(x)-
antessif we- w(e)- w(o)- w(e)- v(e)- v(wo)-
apudessif þe(n)- þ(e)- v(e)- ve(n)- þ(e)- ð(e)-
aversif ł(e)- ła- la- ł(e)- ła- ł(e)-
bénéfactif -at -aţ -aţ -aţ -et -(v)et
causal -(o)by -(o)by -(o)by -(o)by -(o)bu -(o)bu
comitatif -ðeń- -ðei- -ðei(n)- -ðey- -ðei- -ðey-
comparatif -(oi)t -(oi)ţ -oir -er -(oi)r -oit
datif -at- -aţ- -aţ- -aţ- -et- -(v)et-
délatif š(a)- š(e)- ž(a)- ž(e)- ž(a)- ž(a)-
distributif he(l)- he(l)- he(l)- he(l)- ha(l)- ha(l)-
distributif-temporel -be -ba -ba -ve -ve -va
élatif -(ł)y -(ł)y -(ł)y -(ł)yi -(ł)u -(ł)yi
équatif -(ń)t -(ń)ḑ -(ń)ţ -(ń)t -(ĺ)ḑ -(ń)ţ
ergatif -(ò)jo -(y)jo -(lj)o -(lj)o -(mj)o -(lj)o
essif -(þ)yḑ- -(þ)yḑ- -(ð)yţ- -(ð)yţ- -(þ)ud- -(þ)ud-
essif-temporel -(ţ)òd -(ţ)ed -(ţ)òd -òd -(ò)d ò(d)-
essif-modal -()uŗ -()uŗ -u -()yŗ -()yiŗ -()yŗ
excessif -ex -eŕ -ex -aŗ -ex -eŗ
génitif ţy- ţy- ţy(i)- ţy- ţ(eu)- ţo(y)-
identique -tur -(e)tur -(a)tur -(e)tur -tyr -tyr
illatif -(s)òn- -(s)en- -(s)en- -(s)an- -(ps)òn- -(ps)en-
inessif -(e)ŕo- -(a)ŕo- -(e)ŕo- -ŕo- -ŕo- -(a)ŕo-
initiatif -(e)kĺ -(e)kń -(a)kĺ -(ei)kń -akĺ -ekĺ
instructif -(e)ň -eň -aň -(e)ň -(ea)ň -(e)ň
instrumental -(d)ĺ -(ţ)ĺ -(d)ĺ -ḑĺ -(d)ĺ -(d)ń
intratif -fu(þ)- -fy- -fy(ð)- -fy(ð)- -fu(ð)- -þy(ð)-
latif -(l)ń -(l)a -(l)a -le -la -la
limitatif -(ò)mp -(ò)mp -(ò)mp -(ò)mp -(e)mp -(ò)mp
locatif l(e)- l(e)- lj(a)- l(a)- ła- ł(a)-
nominal -(eu)s -(eo)ß -eus -eušt -eus -(eu)ß
nominatif pa(n)- pa(ń)- pń- pń- pa(m)- pa-
oblique -(ŗ)ef -(ŗ)òß -(ŗ)ef -(ŗ)òß -(ŗ)ef -(ŗ)òß
orientatif f(o)- v(o)- þ(o)- ð(o)- þ(o)- þo-
partitif -i(l)- -il- -il(y)- -ili()- -i(ł)- -e(ł)-
pégatif ey- ei- ei- eu- ey- eu-
perlatif š(ui)- ž(ui)- š(eu)- š(ey)- š(oy)- ž(ou)-
pertingent m(e)- m(e)- m(a)- m(e)- mj(ò)- mj(e)-
possessif -eţy -eţy -(i)ţy -oţy -(e)uţ -(o)iţ
postessif -(u)š -(u)ß -(u)ß -(u)þ -(u)ž -(y)š
privatif ei- ae- eiḑ- ei- ei- ei-
prolatif ša- š(e)- š(e)- ž(a)- š(e)- še-
révertif -ňò -ňò -ňoe -ňò -ňò -ňe
semplatif -ŗwe -(ŗ)wo -ŗwo -(ŗ)wo -ŗwo -ŗwe
sociatif t(o)- t(e)- ţe- t(o)- to- ţo-
subessif nw(o)- n(we)- ň(e)- ň(o)- ne- ňe-
sublatif -(i)fţ -(i)þţ -(e)nţ -(eu)ţ -(a)ţ -(i)nţ
superessif ßt(e)- tß(ei)- tß(e)- št(a)- ßt(a)- ßt(a)-
temporel -(y)ňni -(ň)ne -eňni -(i)mji -(i)ňni -(iň)ni
terminatif -(ae)n -aem -aeň -aem -(ae)nz ae(ň)-
translatif -(i)n -(y)m -(i)ň -(i)n -(i)m -(i)n
vocatif -wa -ja -je -v(w)e -va -ve
/ <> > > > > > >
7s 7p 8s 8p 9s 9p
abessif e- e(s)- e- e(ňt)- e(mt)- e(ňt)-
ablatif lń(d)- lń(d)- ĺ(z)- ĺ(z)- ĺ(v)- ĺ(v)-
absolutif -(r)a -(r)a -(x)a -(š)a -(ŗ)a -(ž)a
accusatif -(u)vo -(u)vo -vu -vu -vy -vy
accusatif-temporel -(o)źu -(o)źu -(o)źu -(o)źu -(o)źu -(o)źu
adessif iź(a)- iź(ei)- iŗ(a)- iŗ(a)- iŗ(e)- iŗ(e)-
adverbial -ei -ei -ei -(r)ei -(ei)r -(ey)r
allatif -li(ŗ)- -li(ŗ)- -li(þt)- -li(v)- -(l)iþ- -(l)ið-
antessif vw(o)- v(u)- v(u)- v(u)- vw(o)- vu-
apudessif ð(ei)- ðe(m)- f(e)- fe- vei- fei-
aversif ł(e)- ł(e)- ła- l(e)- ł(e)- ł(e)-
bénéfactif -at -et -ast -aþ -at -et
causal -(o)vu -(e)vy -(e)vy -(e)vy -vy -vy
comitatif -ðei- -ðei- -ðeu- -ðei- -ðeu- -ðeu-
comparatif -(oi)r -(oi)r -or -(oi)r -oiŗ -(oi)ŗ
datif -at- -et- -ast- -aþ- -at- -et-
délatif ß(eu)- ß(eu)- ß(a)- ß(a)- ßa(l)- ße(l)-
distributif hei(l)- hea(l)- hea(l)- hea(l)- še(l)- še(l)-
distributif-temporel -(b)e -be -bei -(b)ei -be -be
élatif -ły -(a)ły -(ł)ay -(ł)ey -(ł)ay -łay
équatif -(ń)t -(ń)t -ńt -(ń)t -(ń)t -ńt
ergatif -jo -jo -(o)jo -(e)jo -(u)jo -(u)jo
essif -þy(d)- -þy(d)- -þy(d)- -þy(d)- -(oi)þyd- -(oi)þyd-
essif-temporel -òd -(ò)ns -òd -òts -(ò)ß -(ò)ßt
essif-modal -()uŗ -()u -()u -()ust -()uŗ -()uŗ
excessif -ex -(e)x -(a)x -ex -eŕ -ex
génitif ţy- ţ(u)- ţ(u)- ţu- ţ(y)- ţ(u)-
identique -(e)tur -(e)tur -(t)ur -tur -(e)tur -(o)tur
illatif -òn- -(v)òn- -(ŕ)òn- -(ŕ)òn- -(ŕ)òn- -(ŕ)en-
inessif -(o)ŕo- -(a)ŕo- -(a)ŕo- -(u)ŕo- -(e)ŕo- -(a)ŕo-
initiatif -(a)kĺ -(e)kń ak(ĺ)- k(ń)- -(k)ĺ -(k)ń
instructif -eň -eňt -(e)ňz -(e)ň -(e)ň -(e)ňt
instrumental -(d)ĺ -(d)ĺ -(d)ń -(ḑ)ń -(d)ĺ -(d)ĺ
intratif -(f)yþ- -fu- -fi(ŕ)- -fe(ŕ)- -fu(ð)- -fu(þ)-
latif -(a)la -(e)la -(l)e -(l)ai -(l)ae -la
limitatif -(a)mp -(a)mp -(a)mp -(a)mp -(ò)mp -(ò)mp
locatif l(au)- l(ai)- l(a)- la- ĺ- l(e)-
nominal -(eu)s -(eu)ß -(eu)s -(ei)š -(eu)s -(eu)st
nominatif pa(l)- pa(l)- pa(ß)- pe(ß)- pa- pa-
oblique -(x)eß -(x)eß -(x)eß -(x)eß -(x)uiß -(x)oiß
orientatif f(o)- f(u)- f(o)- vo- þo- fo-
partitif -i(l)- -gi(l)- -i(l)- -ki(l)- -i(l)- -i(l)-
pégatif eu- ey- ey- ey- ei- ey-
perlatif ž(u)- ž(e)- ž(u)- ž(u)- š(y)- ž(u)-
pertingent m(e)- m(u)- m(a)- m(o)- m(e)- m(e)-
possessif -(ţ)y -(e)ţy -iţy -ţy -yţ -iţ
postessif -(u)ß -(u)ź -(y)ź -(y)ž -(y)tß -(y)ßt
privatif ei- ei- ei- ei- eń- eń-
prolatif š(a)- šei- še- š(a)- š(ey)- ž(e)-
révertif -ňo -ňo -ňò -ňo -(ň)ò -ňo
semplatif -(ŗ)wo -(ŗ)wo -(ŗ)we -(ŗ)wo -(ŗ)wo -(ŗ)wo
sociatif te- t(o)- t(o)- to- t(o)- t(o)-
subessif ňe- ňo- nw(a)- n(wa)- n(a)- na-
sublatif -(i)ţ -(i)ßţ -(i)šţ -(i)ţ -(r)iţ -iţ
superessif tß(ao)- tß(ae)- tßa- ßta- ßt(e)- tß(a)-
temporel -(i)ňni -(i)ňni -(e)ňni -(i)ňni -(y)ňni -iňni
terminatif -(ae)n -(ae)n -(ae)m -ae -(ai)n -(ai)ň
translatif -(i)n -(i)n -in -iň -iň -iň
vocatif -wa -wa -wein -wa -wa -weŕ

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Verbes

Syntaxe

Noms

Déclinaisons

Suivant le rôle du nom dans la phrase, il est possible de le décliner à lun des nombreux cas grammaticaux quoffre le Hjalpi. Dans cette section, jexpliquerai simplement la signification brève de chacune de ces déclinaisons. Pour un détail de comment décliner les noms, veuillez vous référer au chapitre dédié. Je regrouperai ici les déclinaison par catégorie. Chaque cas sera présenté de la manières suivante :

Cas grammatical (ABBRÉVIATION)
définition
Lieu
<<cas-ade>>Cas adessif (ADE)
indique un lieu adjacent à lélément.

Exemple : iŗeménóst (ADE-maison-pl.) à côté des maisons

<<cas-ante>>Cas antessif (ANTE)
indique un lieu antérieur à lélément.

Exemple : vwomén (ANTE-maison) avant la maison / devant la maison

<<cas-apu>>Cas apudessif (APU)
indique un lieu à côté, proche de lélément. Lélément nest pas adjacent au lieu, auquel cas il faudrait utiliser le cas adessif.

Exemple : veimén (APU-maison) à côté de la maison

<<cas-ine>>Cas inessif (INE)
indique un lieu à lintérieur de lélément.

Exemple : mérón (<INE>maison) dans la maison

<<cas-intrt>>Cas intratif (INTRT)
indique un lieu entre des éléments. Lélément décliné ne peut être singulier.

Exemple : ménatĺ (maison.duel.INTRT) entre deux maisons.

<<cas-loc>>Cas locatif (LOC)
indique que lélément décliné est le lieu indiqué (usage général).

Exemple : ĺmén (LOC-maison) à la maison (sans précision)

<<cas-pert>>Cas pertingent (PERT)
indique un contact avec un lieu.

Exemple : memén (PERT-maison) en contact avec la maison

<<cas-poste>>Cas postessif (POSTE)
indique un lieu postérieur à lélément.

Exemple : ménýßt (maison-POSTE) après la maison.

<<cas-sube>>Cas subessif (SUBE)
indique un lieu sous lélément.

Exemple : namén (SUBE-maison) sous la maison

<<cas-supe>>Cas superessif (SUPE)
indique un lieu sous lélément.

Exemple : ßtemén (SUPE-maison) sur la maison / sur le toit de la maison (impliqué)
\\

Mouvement depuis un élément
<<cas-abl>>Cas ablatif (ABL)
indique un déplacement séloignant de lélément.

Exemple : Je pars de Ðbńo. (décision motivée par moi-même)

wyhakéís liÐbńovu
quitter(NOM prés-indic 1s2SG) ABL-Ðbńo-ACC 1s6G.NOM
<<cas-del>>Cas délatif (DEL)
déplacement depuis la surface de lélément.

Exemple : La mouche senvola (volontairement) du livre (de lextérieur du livre, sous entendu de sa couverture)

proböléntí ßaraòm paŗevir
senvoler-(NOM passé m p 3s3SG) DEL-livre NOM-mouche
<<cas-ela>>Cas élatif (ELA)
déplacement depuis lintérieur de lélément.

Exemple : La mouche senvola (volontairement) du livre (sous entendu depuis une page / lintérieur du livre, le livré étant ouvert)

proböléntí raòmey paŗevir
senvoler-(NOM passé m p 3s3SG) livre-ELA NOM-mouche
<<cas-init>>Cas initiatif (INIT)
indique le point de départ dune action (cas général)

Exemple : Je voyage depuis Ðbńo (sous-entendu, Ðbńo était de point de départ du voyage)

etrjáléís Ðbńokĺ
voyager(NOM prés-indic 1s2SG) Ðbńo-INIT 1s6G.NOM
Mouvement vers un élément
<<cas-all>>Cas allatif (ALL)
indique un mouvement vers les environs de lélément (cas général), nindique pas nécessairement de finalité ou de point précis.

Exemple : Je voyage vers Ðbńo (sans nécessairement aller à Ðbńo même).

etrjáléís Ðbńoðil
voyager(NOM prés-indic 1s2SG) Ðbńo<ALL> 1s6G.NOM
<<cas-ill>>Cas illatif (ILL)
mouvement vers lintérieur de lélément, nindique pas nécessairement de finalité.

Exemple : La mouche vole vers la maison (sous entendu, elle va y rentrer)

eŕbölay monén paŗevir
voler-(NOM prés-indic 3s3SG) <ILL>maison NOM-mouche
<<cas-lat>>Cas latif (LAT)
mouvement vers lélément (cas général), nindique pas nécessairement de finalité.

Exemple : Je pars de Notń pour Ðbńo.

wyhakéís liNotńvu Ðbńolòĺ
quitter(NOM prés-indic 1s2SG) ABL-Notń-ACC Ðbńo-LAT 1s6G.NOM
<<cas-subl>>Cas sublatif (SUBL)
mouvement vers la surface de lélément.

Exemple : La mouche vole vers le livre. (sous-entendu, la couverture)

eŕbölay raòmiţ paŗevir
voler-(NOM prés-indic 3s3SG) livre-SUBL NOM-mouche
<<cas-term>>Cas terminatif (TERM)
le mouvement a pour but lélément.

Exemple : Je voyage jusquà Ðbńo.

etrjáléís Ðbńoþaen
voyager(NOM prés-indic 1s2SG) Ðbńo-TERM 1s6G-NOM
Déplacement via un élément
<<cas-per>>Cas perlatif (PER)
mouvement au travers ou le long de lélément.

Exemple : Je voyage le long de la rivière.

etrjáléís šyłánt
voyager(NOM prés-indic 1s2SG) PERL-(rivière mineure) 1s6G-NOM
<<cas-prol>>Cas prolatif (PROL)
mouvement en utilisant lélément ou sur sa surface.

Exemple : Je navigue sur locéan côtier.

elḑökay šielt
naviguer(NOM prés-indic 1s2SG) PROL-(océan côtier) 1s6G-NOM
Temps
<<cas-atemp>>Cas accusatif-temporel (ATEMP)
indication dune durée de temps, peut remplacer laccusatif dune proposition nominative-accusative avec un verbe transitif.

Exemple : Jai dormis sept heures.

oherénté heolí pńtwánźu
dormir-(NOM passé m p 1s2SG) heure(mesure)-GEN sept-ATEMP 1s6G-NOM
<<cas-ess>>Cas essif (ESS)
lélément indique la date où le moment où un événement se produit.

Exemple : Je dors habituellement à sept heures.

oheroméis hebéómi pudńtwán
dormir(NOM prés-habit 1s2SG) heure-GEN <ESS>sept 1s6G-NOM
<<cas-limit>>Cas limitatif (LIMIT)
lélément indique une limite dans le temps.

Exemple : Je dors habituellement jusquà sept heures.

oheroméis hebéómi pńtwánòmp
dormir(NOM prés-habit 1s2SG) heure-GEN sept-LIMIT 1s6G-NOM
<<cas-temp>>Cas temporel (TEMP)
lélément désigne un moment (cas général).

Exemple : à sept heures

hebéómi pńtwániňni
heure-GEN sept-TEMP
<<cas-distemp>>Cas distributif-temporel (DISTEMP)
Similaire au cas distributif, montrant une répétition temporelle se produisant à chaque élément temporel décliné.
Alignement morphosyntaxique
<<cas-abs>>Cas absolutif (ABS)
indique le patient dun verbe transitif ou le sujet dun verbe intransitif dans une proposition ergative. Soppose à lergatif.

Exemple : Jai brisé le vase. (action sous-entendue comme involontaire)

néí nweţuŗa kĺnéínté
1s6G.ERG vase-ABS briser(ERG passé m p 1s2SG)
<<cas-acc>>Cas accusatif (ACC)
indique le patient dun verbe transitif dans une proposition nominative. Soppose au nominatif.

Exemple : Jai brisé le vase. (action sous-entendue comme volontaire)

kĺnénté nweţuvy
briser(NOM passé m p 1s2SG) vase-ACC 1s6G.NOM
<<cas-erg>>Cas ergatif (ERG)
indique lagent dun verbe transitif dans une proposition ergative. Soppose à labsolutif. Peut-être remplacé par le pégatif.

Exemple : Jai brisé le vase. (action sous-entendue comme involontaire)

néí nweţuŗa kĺnéínté
1s6G.ERG vase-ABS briser(ERG passé moy. pft. 1s2SG)
<<cas-instructive>>Cas instructif (INSTRUCTIVE)
indique le moyen employé, répond à la question comment?.

Exemple : Jai brisé le vase en tombant. (comme je suis tombé, sous-entendu involontairement, jai brisé le vase)

néí žybdinobyente nweţuŗa kĺnéínté
1s6G.ERG tomber(ERG pas. moy. pft. 1s2SG) vase-ABS briser(ERG passé moy. pft. 1s2SG)
<<cas-instr>>Cas instrumental (INSTR)
indique linstrument utilisé, répond à la question au moyen de quel objet?.
néí pńtédń nweţuŗa kĺnéínté
1s6G.ERG pied.POSS-6s.INSTR vase-ABS briser(ERG passé moy. pft. 1s2SG)
<<cas-nom>>Cas nominatif (NOM)
indique le sujet dun verbe intransitif ou lagent dun verbe transitif dans une proposition nominative. Soppose à laccusatif. Peut-être remplacé par le pégatif.

Exemple : Jai brisé le vase. (action sous-entendue comme volontaire)

kĺnénté nweţuvy
briser(NOM passé m p 1s2SG) vase-ACC 1s6G.NOM
<<cas-obl>>Cas oblique (OBL)
marque le verbe, indique la proposition comme étant une citation. Les sous-propositions nont pas besoin dêtre marquée. Remplace laccusatif dans les propositions nominatives, et labsolutif dans les propositions ergatives.

Exemple : jai dis que jai cassé (involontairement) le vase.

ŗeðénté kĺnéntéŗòß nweţuŗa
dire(NOM passé m p 1s2SG) briser(NOM passé m p 1s2SG) vase-ACC 1s6G.NOM
<<cas-peg>>Cas pégatif (PEG)
agent dans une proposition ayant un argument datif. Peut remplacer le nominatif et lergatif.
Relation
<<cas-evit>>Cas aversif (EVIT)
indique que lélément est évité ou craint.

Exemple : Je navigue sur locéan côtier tout en évitant Notń.

elḑökay łaNotń šielt
naviguer(NOM prés-indic 1s2SG) EVIT-Notń PROL-(océan côtier) 1s6G-NOM
<<cas-ben>>Cas bénéfactif (BEN)
indique la personne ou le concept motivant une proposition dun verbe daction. Sil est omis à la première personne, on assume que le bénéfacteur est le sujet ou lagent ; à la seconde ou à la troisième personne, on assume que le bénéfacteur est inconnu.

Exemple : Je navigue sur locéan côtier (laction est motivée par ou due à Mérian).

Merianaţ elḑökay šielt
Merian-BEN naviguer(NOM prés-indic 1s2SG) PROL-(océan côtier) 1s6G-NOM
<<cas-com>>Cas comitatif (COM)
indique un accompagnement par lélément décliné, comparable au «avec» ou «et» en Français. Laction doit être partagée entre le sujet ou agent de la proposition et lélément décliné, cest à dire que lélément est souvent un compagnon dans la situation (sans conotation positive ou négative).

Exemple : Je voyage le long de la rivière accompagné de Romur. (Romur et moi partageons lexpérience du voyage).

etrjáléís šyłánt Romyðeńr
voyager(NOM prés-indic 1s2SG) PERL-(rivière mineure) <COM>Romyr 1s6G-NOM
<<cas-dat>>Cas datif (DAT)
élément recevant ou direction de laction vers lélément.

Exemple : Je crie (par colère) sur mon voisin.

ţýbýmáý ketipŕým
crier(NOM prés-indic 1s2SG) <DAT>voisin 1s6G-NOM
<<cas-distributif>>Cas Distributif (DISTR)
Marque une distribution équitable entre les éléments déclinés. Comparable au cas distributif-temporel.
<<cas-gen>>Cas génitif (GEN)
montre une relation entre deux éléments, lélément décliné définit lélément situé immédiatement après. Attention, contrairement à certaines langues, le génitif de dénote pas la possession de lélément ; pour cela, il faut utiliser le possessif.
<<cas-poss>>Cas possessif (POSS)
marque lélément comme le propriétaire de lélément suivant immédiatement lélément décliné. Il nest pas utile de décliner lélément (voire même de placer lélément dans la phrase) si lélément propriété est également décliné avec les déclinaisons possessives.
<<cas-priv>>Cas prifatif (PRIV)
indique un manque ou une absence de lélément décliné. Ce manque na aucune conotation positive ou négative.
<<cas-sempl>>Cas semplatif (SEMPL)
indique une similitude entre le sujet/expérienceur ou lagent de la proposition et le ou les éléments déclinés.
<<cas-soc>>Cas sociatif (SOC)
indique que la situation de la proposition sest déroulée avec lagent ou le sujet étant avec lélément décliné. Lélément na pas à partager la situation avec lagent/sujet.

Exemple : Je voyage le long de la rivière avec mes jumelles. (Les jumelles ne peuvent partager lexpérience dû au fait quelles soient inanimées et ne sont certainement pas mon moyen de voyage)

etrjáléís šyłánt tovyelegot
voyager(NOM prés-indic 1s2SG) PERL-(rivière mineure) SOC-jumelles 1s6G-NOM
Sémantiques
<<cas-ptv>>Cas partitif (PTV)
sutilise pour indiquer une quantité de lélément donné sil sagit de désigner un sous-groupe, sans spécifier didentité ou bien de marquer une partie uniquement de lélément décliné.

Champs sémantiques et pragmatismes

Système décriture

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<<glossaire>>Glossaire

clef
transcription large élément de langage. Définition(s)

Définition

Abréviations :

  • 1 : genre divin
  • 2 : genre mental
  • 3 : genre liquide
  • 4 : genre masculin
  • 5 : genre féminin
  • 6 : genre neutre
  • 7 : genre animal
  • 8 : genre végétal
  • 9 : genre inanimé
  • adj. : adjectif
  • ind. : indénombrable
  • n.X : nom du Xème genre
  • pron. : pronom
  • vi. : verbe intransitif
  • vt : verbe transitif

À trier

kipŕým
(n.6) voisin
ŗeðyþ
(vt.) dire
vyelegot
(n.9) jumelles (instrument)

Actions physiques

kĺnyþ
kl̩.nyːθ (vt.) casser, briser
ţýbýmýþ
ʈʏ.bʏ.mʏθ (vi.) crier par colère, par rage
žybdinyþ
ʐyːb.diː.nyːθ (vi.) tomber
oheryþ
?o:.he:.ry:þ (vi.) dormir

Amour

Animaux

nael
nael (n.7) cheval
ŗevír
ʁeː.vɪr (n.7) mouche

Art

raòm
raøm (n.9) livre

Astronomie

<<glos-béóm>>béóm
bɛɔm (n.1) Soleil. Étymologie : bém + jaom, astre du jour
<<gloss-jaom>>jaom
jaom (n.1) astre

Bâtiments

mén
mɛn (n.9) maison (bâtiment)

Commerce

Conflits

Conteneurs

Corps

gar
ɡaːr (n.6) tête
<<glos-pńt>>pńt
pn̩t (n.6) main
<<glos-wán>>wán
waːn (n.6) pied

Couleurs

<<glos-ðúr>>ðúr
ðʊr (adj.) argent (couleur)

Dimensions

Direction

ňam
ŋaːm (n.2) ouest
watßúd
waːt.ʃʊd (n.2) nord
wémšal
wɛm.çaːl (n.2) est (direction)
zelðeg
zeːl.ðeːɡ (n.2) sud

Eau

ánd
ɑnd (n.3) rivière majeure, cours deau dans lequel sest jeté une autre rivière, mais ammenée à se jeter elle-même dans un autre cours deau
hanḑ
haː (n.3) fleuve mineur, cours deau nayant aucun confluent se jetant directement dans la mer ou locéan
ielt
ielt (n.3) océan côtier, vaste étendue deau au contact des côtes
łánt
ɬɑt (n.3) rivière mineure ou ruisseau, cours deau dans lequel ne sest jeté aucun autre cours deau mais ammené à se jeter dans un autre cours deau
omd
oːmd (n.3) océan non-côtier, vaste étendue deau nétant pas au contact des côtes
vilţ
viː (n.3) fleuve majeur, cours deau ayant reçu dautre cours deau et se jetant directement dans la mer ou locéan
élḑ
ʔɛlɖ (n.3) mer, petite étendue deau connectée à dautres mers ou océans, ou région docéan côtier

Effort

Éléments

Émotions

feŗan
feː.ʁaːn (n.2) tristesse

Évaluation

eßtef
ʔeːʃ.teːf (adj.) mauvais

Événements

gén
ɡɛn (n.2) acte, action

Existence

Famille

ánám
ɑ.nɑm (n.6) parent
mánám
mɑ.nɑm (n.5) mère, maman
pánám
pɑ.nɑm (n.4) père, papa

Forme

Gouvernement

Grammaire

pöb
pœb (pron. interrogatif) quoi, idée générale délément. Peut être décliné afin dobtenir des questionnements plus précis.

Pronoms interrogatifs

Temps
pejb
pejb (pron. interr. essif) quand, à quel moment. pöb décliné à lessif.
pöémp
pœɛmp (pron. interrogatif limitatif) jusquà quand. pöb décliné au limitatif.
pövwó
pœ.vwɔ (pron. interrogatif accusatif) sur quelle durée, pendent combien de temps. pöb décliné à laccusatif.

Guerre

wóúl
wɔʊl (n.2) attaque

Légal

Lieux

Lumière

Mental

Mesures

Métaux

Mouvement

etrjálòm
eːt.rjɑ.lʏθ (vi.) voyager
eŕbölýþ
eːɹ.bœ.lʏθ (vi.) voler (dans le airs)
jĺšek
jl̩.çeːk (n.9) chemin, voie
probölýþ
proː.bœ.lʏþ (vi.) senvoler

Exemple : Proböléntí paŗevir. La mouche senvola.

wyhakòm
wyː.haː.køːm (vt.) quitter, partir.

Exemple : Né liÐbńovu wyhakéís. Je pars de Ðbńo.

elḑökýþ
ʔeːlɖœkʏθ (vi.) naviguer

Nature

Nombres

pńtwán
pn̩twɑn (nbrc) sept. Étymologie : pńt + wán

Nourriture

Outils

Parole

vár
vɑr (n.2) langue (linguistique), langage, parole

Péchés

Physique

Possession

Religion

hjalp
hjaːlp (n.1) dieu céleste
melex
meː.leːχ (n.1) dieu terrestre

Savoir

bóljòluþ
bɔ.ljøː.luːθ (vt.) savoir
wanmjöd
waːn.mjœd savoir, connaissance

Sensations

feŗtef
feːʁ.teːf (n.2) douleur mentale, dépression. Étymologie : feŗan + eßtef, une tristesse mauvaise
núótöm
nʊɔ.tœm (vt.) voir

Sexe

Société

Substances

lúb
lʊb (n.9) air

Temps

<<glos-bém>>bém
bɛm (n.2) jour (mesure de temps)
hebéóm
heːbɛɔm (n.2) heure (repère de temps). Étymologie : heol + béóm lheure par le Soleil
<<glos-heol>>heol
heol (n.2) heure (mesure de temps)
łail
ɬail (n.2) année (mesure de temps)
ţealnat
ʈealnaːt (adj.) précision temporelle, précis.

Jours de la semaine

ðúbém
ðʊ.bɛm (n.2) septième jour de la semaine / jour dagent. Étymologie : ðúr + bém

Travail

Végétaux

Vêtements

Vie et santé

ðenmóíl
ðeːn.mɔɪl (n.6) personne, individu